Les préretraités dans l'enquête Emploi depuis 2014
- 13 mars 2024
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Cette note présente des résultats exploratoires autour des dispositifs de préretraite tels qu’ils sont déclarés dans l’enquête Emploi.
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Cette note présente des résultats exploratoires autour des dispositifs de préretraite tels qu’ils sont déclarés dans l’enquête Emploi.
Une analyse qualitative, sous la responsabilité scientifique d’un enseignant-chercheur de l’Université Paris-Est Créteil, visant à interroger la logique de construction et de mise en œuvre de dispositifs d’accompagnement et de formation à destination de réfugiés.
Bouches-du-Rhône, Gard, Haute-Saône, Ille-et-Vilaine, Nord, Paris, Somme, Val d'Oise : 8 monographies départementales sur la mise en œuvre des politiques en faveur de l’intégration professionnelle des réfugiés.
Le département du Nord est caractérisé par une offre relativement étoffée et l’existence de nombreux dispositifs orientés vers l’intégration professionnelle et le logement. Le département de la Somme aussi se caractérise par une gouvernance et un cadre d’action bien structurés.
L’insertion professionnelle des réfugiés en Haute-Saône est appréhendée sous l’angle de la « durabilité » et du maintien de ces publics BPI sur le territoire.
En Ille-et-Vilaine, un écosystème d’acteurs qui s’est globalement bien saisi de l’enjeu de l’intégration des réfugiés, sous l’impulsion d’une stratégie départementale affirmée.
Comme pour les autres départements littoraux de la région Occitanie, la situation économique apparait moins porteuse pour les réfugiés, avec un taux de chômage parmi les plus élevés (17% contre 14% en moyenne régionale) dans le département du Gard.
Une gouvernance et une animation de la politique d’intégration est installée en PACA depuis plusieurs années, articulée autour des trois volets de la politique de l’asile (accueil, intégration, éloignement). Depuis 2019, cette gouvernance se décline dans les Bouches-du-Rhône.
L’intégration professionnelle des réfugiés dans le Val d’Oise ne peut être appréhendée que dans le contexte de la région Ile-de-France où les précarités résidentielles et professionnelles sont particulièrement interconnectées et où la pression sur le logement est élevée.
Pour que tous les réfugiés qui obtiennent l’asile à Paris bénéficient d’un accompagnement vers l’emploi il semble nécessaire que tous puissent bénéficier, en amont et parallèlement, quelle que soit leur situation d’hébergement, d’un accompagnement social.