Hommes et femmes recrutés en 2005 : les préférences des employeurs
- 30 juillet 2009
- Dares Analyses N°31.3
En 2005, le profil des salariés recrutés dans le secteur privé diffère sensiblement selon le genre.
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En 2005, le profil des salariés recrutés dans le secteur privé diffère sensiblement selon le genre.
En 2007, comme en 2006, près de 15 % des entreprises de dix salariés ou plus ont ouvert au moins une négociation collective. Cette proportion atteint 80 % dans les entreprises où il existe un délégué syndical.
L'année 1992 s'est caractérisée par l'amorce d'un repli quasi général du nombre d'accords d'entreprises : 6 405 accords signés en 1992 ont été déposés dans les Directions Départementales du Travail, de l'Emploi et de la formation professionnelle, soit 5 % de moins qu'en 1991.
Au début de l'année 1993, la montée du chômage et la faiblesse de l'inflation se sont accompagnées d'un ralentissement brutal de la progression des salaires. Le taux de salaire horaire ouvrier a progressé de 0,5 % au premier trimestre.
Les salariés étrangers sont 738 000, soit une augmentation de 4,8 % par rapport à 1988 où ils étaient 703 000. Leur nombre demeure toutefois nettement inférieur à celui de 1985, qui s'élevait à 788 000.
Le nombre des salariés en congé parental est estimé à 95 000 en 1992. Comparé au million de ménages où l'homme et la femme travaillent et qui ont au moins un enfant de moins de trois ans, ce nombre apparaît faible.
Dans leurs négociations visant à revaloriser les bas salaires, les branches conventionnelles tendent en général à instaurer des salaires minima garantis plutôt qu'à refondre leur classification salariale.
Avec environ 6 750 accords conclus en 1991, l'activité conventionnelle d'entreprise ou d'établissement poursuit son extension, malgré le recul du nombre d'accords salariaux lié au ralentissement des hausse de salaires.