Les stages du FNE pour les cadres au chômage en 1994
- 21 août 1995
- Dares Résultats N°478
9 600 cadres ont été accueillis dans les stages du Fonds National de l'Emploi (FNE) en 1994, soit 10 % de plus qu'en 1993 (contre + 44 % enter 1992 et 1993).
199 résultats
9 600 cadres ont été accueillis dans les stages du Fonds National de l'Emploi (FNE) en 1994, soit 10 % de plus qu'en 1993 (contre + 44 % enter 1992 et 1993).
En 1994, 260 000 entrées en stage sont dénombrées pour la France entière, chiffre en diminution de 20 000 par rapport à 1993 (somme des entrées en AIF, SRP et FNE FI).
Les contrats d'insertion en alternance destinés aux jeunes de 16 à 25 ans (contrats de qualification, d'adaptation et d'orientation) sont en hausse sensible en 1994, surtout durant le premier semestre.
La majorité des entreprises enquêtées en 1993 par le Ministère du travail ont introduit des innovations dans leurs méthodes de travail : " juste-à-temps ", politique de qualité totale, décloisonnement des fonctions, allègement de la hiérarchie, sont désormais monnaie courante.
Début 1994, 55 % des Français croyaient en l'efficacité d'un développement du travail à temps partiel pour réduire le chômage et 42 % estimaient qu'une réduction généralisée pouvait créer des emplois.
En mars 1994, les établissements de plus de 10 salariés employaient 57 000 apprentis et 102 000 autres contrats d'alternance.
L'ensemble des tendances relevés en 1992 se confirme : le secteur tertiaire reste le premier employeur face à une population de bénéficiaires de moins en moins jeunes et disposant d'un niveau de formation initiale toujours plus élevé.
Les grandes entreprises européennes participent aujourd'hui d'un même mouvement de transformation de leurs processus productifs. Cet élément d'intégration transnational conduit peut-être à l'émergence d'un modèle européen de l'emploi.
Dans la gamme des formations en alternance destinées aux jeunes de 16 à25 ans, les contrats de qualification occupent la première place parmi les contrats d'insertion (contrats de qualifications, contrats d'adaptation et contrats d'orientation).
Les horaires fixes sont en recul : ils concernaient 65 % des salariés en 1978, 59 % en 1984, 52 % en 1991.