Début 1994, 55 % des Français croyaient en l'efficacité d'un développement du travail à temps partiel pour réduire le chômage et 42 % estimaient qu'une réduction généralisée pouvait créer des emplois.
Ce sont les chômeurs ou anciens chômeurs, les étudiants et les salariés en emploi temporaire qui sont le plus favorable à cette dernière mesure tandis que les femmes ont une préférence pour le temps partiel.
Une majorité des personnes actives seraient prêtes à accepter une diminution de revenu associée à cette réduction. Dans six cas sur dix, elles l'assortissent de conditions portant notamment sur l'embauche de chômeurs ou le niveau de la compensation salariale.
Sur le même sujet
- 18 avril 2024
- Dares Analyses N° 25
- 16 avril 2024
- Annuelles
- Nationales
- 2 avril 2024
- Revue Travail et Emploi