Le chômage partiel en 2000
- 10 septembre 2001
- Dares Indicateurs N°39.2
Le maintien d’une conjoncture économique favorable en 2000 s’est traduit par un nouveau recul du recours au chômage partiel.
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Le maintien d’une conjoncture économique favorable en 2000 s’est traduit par un nouveau recul du recours au chômage partiel.
En cours d’expérimentation, en avril 2000, le contrat de qualification adulte a pour objectif de faciliter l’embauche de personnes de plus de 25 ans rencontrant des difficultés sociales et professionnelles.
Après une légère hausse de 1,2 % en 1998, les entrées dans les dispositifs spécifiques de politique d'emploi ont à nouveau baissé en 1999 (- 3,4 %) elles se sont établies à 2,2 millions.
L’enquête vise à connaitre les motifs réels de sortie de ces personnes, et en cas de sortie pour reprise d’emploi, décrire la nature de l’emploi retrouvé.
Quels sont les effets de la réduction du temps de travail sur les modes de vie ? Quelles sont les transformations intervenues dans la vie des salariés à la fois au travail et en dehors du travail (organisation domestique, vie familiale, vie sociale, loisirs…) ?
Entre 1996 et 1999, avec le passage de la loi Robien à la loi Aubry, la réduction du temps de travail (RTT) aidée par l’État a changé d’échelle, le nombre d’entreprises et de salariés impliqués ayant décuplé.
La bonne conjoncture économique de 1999 s’est traduite par une stabilisation du recours au chômage partiel.
En 2000, afin de mieux comprendre les enjeux microéconomiques et gestionnaires de l’aménagement-réduction du temps de travail (ARTT), deux équipes de consultants et chercheurs en gestion ont enquêté pour la DARES dans dix-huit entreprises qui l’avaient appliqué dans le cadre de la loi Robien.
En 1998, du fait d’une conjoncture économique favorable, le recours au chômage partiel a fortement diminué.