La bonne conjoncture économique de 1999 s’est traduite par une stabilisation du recours au chômage partiel.
Si le nombre de journées autorisées est passé de 4 millions en 1998 à 4,1 millions en 1999 (+ 4 %), seules 2,1 millions d’entre elles ont été finalement utilisées, soit une baisse de 2 %. Sur l’ensemble de l’année, la mesure a coûté à l’État 300 millions de francs.
En moyenne, chaque mois, le chômage partiel a touché 67 800 personnes, pour une durée moyenne de 5,1 jours autorisés par salarié concerné.
Le secteur industriel a concentré 82,5 % des journées autorisées, soit 10 points de plus qu’en 1998. Les branches « métallurgie, transformation des métaux » et « chimie, caoutchouc, plastique » ont doublé leurs demandes, tandis que l’automobile a affiché la plus forte baisse.
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