Métier, accès à la formation continue et mobilité professionnelle
- 5 juin 2002
- Dares Analyses N°24.1
Un accès privilégié pour les fonctionnaires, les professionnels de la santé et ceux le plus en prise avec l'informatique.
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Un accès privilégié pour les fonctionnaires, les professionnels de la santé et ceux le plus en prise avec l'informatique.
Les seniors français sont plus actifs professionnellement qu'il y a dix ans : leur taux d'activité a gagné plus de sept points entre 1991 et 2001.
Entre janvier 1999 et février 2000, les jeunes de 16 à 25 ans ont accédé à peine plus que les adultes de 30 à 49 ans à la formation continue.
En 2000, dans un contexte de fort recul du chômage, la politique spécifique de l'emploi s'est traduite par une baisse des entrées dans les dispositifs et du nombre de leurs bénéficiaires.
La formation en alternance a largement profité de la reprise économique et de la politique de l'emploi particulièrement orientées vers les jeunes.
L'année 1999 marque un coup d'arrêt à la croissance importante du nombre d'organismes de formation et de leur chiffre d'affaires, que l'activité de formation soit exercée à titre principal ou secondaire.
Après une légère hausse de 1,2 % en 1998, les entrées dans les dispositifs spécifiques de politique d'emploi ont à nouveau baissé en 1999 (- 3,4 %) elles se sont établies à 2,2 millions.
Avec près de 230 000 contrats conclus, l’apprentissage enregistre une croissance de 4 % de ses entrées en 1999.
L’enquête formation employeur – européenne (EFE-e) porte sur les pratiques de formation des entreprises ou associations du secteur privé, ainsi que sur leurs attentes et difficultés dans ce domaine.
Sur plus d'un million de jeunes ayant bénéficié, entre le 1er mai 1986 et le 31 janvier 1987, des dispositions du plan d'urgence pour l'emploi des jeunes, près de 420 000 ont été recrutés au titre d'une des trois formules de formation en alternance.