Journée d'étude sur l'enquête Ofer
- Le 29 novembre 2007
10 résultats
Le coût des politiques de l’emploi est estimé à 30,4 milliards d’euros en 2005.
Interrogés sur leur travail, sur leurs conditions de vie et sur leurs perspectives, les salariés en contrat emploi-solidarité (CES), en contrat emploi consolidé (CEC) ou en contrat emploi-jeune expriment des opinions convergentes sur plusieurs points essentiels.
Parmi les 940 000 jeunes en contact en 2000 avec le réseau des missions locales et permanences d'accueil d'information et d'orientation, 365 000 sont des premiers entrants, accueillis majoritairement lors d'un entretien individuel.
Début 2002, la dégradation du contexte macroéconomique amorcée en 2001 influe fortement sur les anticipations des ménages quant à l'évolution du marché du travail et sur leur jugement, désormais plus pessimiste, à l'égard des politiques de l'emploi.
Les embauches supplémentaires ont très peu modifié les caractéristiques des bénéficiaires et des contrats.
En 1999, la dépense pour l'emploi est estimée à 51 milliards d'euros (336 milliards de francs),soit une hausse de 3,5 % en volume, plus prononcée que celle de l'année précédente.
Une progression des embauches de 40 % entre 1996 et 2000.
Des difficultés causées par l'absence de candidat pour le profil recherché ou par l'existence de fortes tensions dans la zone d'emploi de l'entreprise.
Les jeunes sont prédominants dans les embauches : ils sont plus nombreux à s'insérer sur le marché du travail et sont recherchés par les employeurs qui trouvent qu'ils s'adaptent plus ou que l'embauche de seniors ne permet pas d'équilibrer leur pyramide des âges.