Conjoncture de l'emploi et du chômage au troisième trimestre 1999
- 22 décembre 1999
- Dares Analyses N°50.1
Chacun des trois grands secteurs, industrie, construction et tertiaire, est créateur d'emplois ce trimestre.
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Chacun des trois grands secteurs, industrie, construction et tertiaire, est créateur d'emplois ce trimestre.
La création d’emplois s’est poursuivie à un rythme vigoureux durant le deuxième trimestre de 1999.
En 1998, la croissance du PIB a atteint 3,2 % (en moyenne annuelle) et le nombre d’emplois créés a été de 406 000 (en glissement annuel), niveau proche de celui du début des années soixante-dix.
Que l’on analyse les modifications affectant la démographie et les comportements d’activité professionnelle, les transformations de l’emploi ou les évolutions des formes de chômage, les différents pays européens présentent des traits communs mais aussi des facteurs d’originalité.
Avec + 0,6 %, la croissance de l’emploi a été plus vigoureuse au premier trimestre 1999 qu’au trimestre précédent.
Dans la poursuite des trimestres antérieurs, le quatrième trimestre 1998 affiche de bons résultats, avec une croissance soutenue du PIB (+0,8 %), des créations d’emploi significatives et un chômage qui continue de reculer.
Du point de vue du marché du travail, le troisième trimestre 1996 se situe tout à fait dans le prolongement des trois précédents : l'emploi salarié reste depuis un an pratiquement stable dans une contexte de faible croissance économique et le chômage continue à augmenter.
Le deuxième trimestre 1996 est marqué par un recul de l'activité économique. Dans ce contexte particulièrement défavorable, le niveau global de l'emploi salarié privé demeure stable.
La diversité des marchés locaux du travail dessine une géographie qui permet de mieux identifier les risques des territoires (ici les zones d'emploi) face au chômage.
Destinés aux demandeurs d'emploi de longue durée et aux personnes en grande difficulté, les contrats emploi-solidarité et les stages d'insertion et de formation à l'emploi regroupent en moyenne près de 40 % des entrées dans l'ensemble des mesures de politique d'emploi.