Quels sont les emplois vacants début 2022 ?
- 15 décembre 2022
- Dares Focus N°64
50 % des 365 200 emplois vacants comptabilisés en moyenne sur les trois premiers trimestres 2022 dans le secteur privé correspondent à des emplois inoccupés.
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50 % des 365 200 emplois vacants comptabilisés en moyenne sur les trois premiers trimestres 2022 dans le secteur privé correspondent à des emplois inoccupés.
L’emploi intérimaire rebondit au 3e trimestre 2022 (+1,9 %, soit +14 900 intérimaires), après deux trimestres consécutifs de baisse (-2,3 %, soit -18 700 intérimaires au 2e trimestre 2022 et -1,9 %, soit -15 900 intérimaires au 1er trimestre).
La Dares a participé à un séminaire sur le thème des tensions de recrutement, co-organisé par la Direction générale du Trésor et le ministère du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion.
Après une diminution en 2020, les tensions sur le marché du travail remontent et atteignent en 2021 leur plus haut niveau depuis 2011.
L’emploi intérimaire recule de nouveau au 2e trimestre 2022 (−2,5 %, soit −20 500 intérimaires, après −1,9 %, soit −15 800 intérimaires au 1er trimestre 2022).
Bouches-du-Rhône, Gard, Haute-Saône, Ille-et-Vilaine, Nord, Paris, Somme, Val d'Oise : 8 monographies départementales sur la mise en œuvre des politiques en faveur de l’intégration professionnelle des réfugiés.
Le département du Nord est caractérisé par une offre relativement étoffée et l’existence de nombreux dispositifs orientés vers l’intégration professionnelle et le logement. Le département de la Somme aussi se caractérise par une gouvernance et un cadre d’action bien structurés.
L’insertion professionnelle des réfugiés en Haute-Saône est appréhendée sous l’angle de la « durabilité » et du maintien de ces publics BPI sur le territoire.
En Ille-et-Vilaine, un écosystème d’acteurs qui s’est globalement bien saisi de l’enjeu de l’intégration des réfugiés, sous l’impulsion d’une stratégie départementale affirmée.
Comme pour les autres départements littoraux de la région Occitanie, la situation économique apparait moins porteuse pour les réfugiés, avec un taux de chômage parmi les plus élevés (17% contre 14% en moyenne régionale) dans le département du Gard.