Le programme "nouveaux services-emplois jeunes" en 2000 : près d'un tiers des embauches effectuées par des associations
- 7 septembre 2001
- Dares Analyses N° 36.1
Depuis le lancement du programme, plus de 285 000 jeunes ont été embauchés.
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Depuis le lancement du programme, plus de 285 000 jeunes ont été embauchés.
La reprise de l’emploi s’est traduite par une forte progression des embauches, bénéfique pour les jeunes les plus récemment sortis de l’école.
En 1999, 5,4 millions de salariés, soit 37 % de l’effectif des entreprises des secteurs marchands non agricoles, ont reçu une prime de partage des bénéfices au titre de la participation ou de l’intéressement.
Du milieu des années soixante-dix jusqu’à ces dernières années quatre-vingt-dix, la croissance du PIB en France a été non seulement ralentie mais également marquée par d’importantes fluctuations conjoncturelles.
Après deux années de recul, les entrées dans les dispositifs spécifiques de la politique de l’emploi se stabilisent à 2,3 millions en 1998.
En 1997, 5,5 millions de salariés étaient couverts par l’un des deux systèmes de partage des bénéfices que sont la participation et l’intéressement.
En 1998, les employeurs utilisateurs du programme « nouveaux services-emplois jeunes » déclarent ne pas avoir rencontré de difficultés majeures à faire accepter leur projet par les services instructeurs, ou lors des recrutements.
Cette enquête vise à avoir des données sur la participation, l’intéressement et l’épargne d’entreprise. Elle appartient au dispositif d’enquêtes sur l’Activité et les conditions d’emploi de la main d'œuvre (Acemo).
Applicable dès octobre 1997, le programme « nouveaux services-emplois jeunes » a connu, après une phase d’élaboration des projets, une montée en charge rapide à partir de la mi-1998.
Dès 1997, la première année de mise en œuvre du programme « Nouveaux Services-Emplois Jeunes » a été largement consacrée à la construction des partenariats locaux, aux campagnes d’information, au soutien aux porteurs de projet et à l’élaboration d’une doctrine pour l’instruction des dossiers.