L' insertion par l'activité économique en 2002
- 2 décembre 2003
- Dares Indicateurs N°52.1
En 2002, le nombre de structures d'insertion par l'activité économique (IAE) du secteur marchand est en légère diminution.
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En 2002, le nombre de structures d'insertion par l'activité économique (IAE) du secteur marchand est en légère diminution.
En 2001, les entreprises non agricoles ont distribué 8,7 milliards d'euros au titre de la participation et de l'intéressement, une somme en hausse de 14,5 % par rapport à l'année précédente.
Les anciens salariés des EI se réinsèrent plus difficilement que ceux des AI ou ETTI, ils sont majoritairement au chômage au sortir de la structure.
En 1994, les salariés du secteur privé et semi-public ont perçu en moyenne 14,5 % de leur rémunération sous forme de primes. Les primes mensuelles représentent 6,7 % de la rémunération totale (6,6 % en 1993). La part des primes non mensuelles est stable : 7,8 %.
Malgré la reprise de l'activité économique, les 674 entreprises d'insertion conventionnées par l'Etat employant plus de 6 500 personnes en contrat d'insertion, et les 1 053 associations intermédiaires ayant mis à disposition plus de 17 000 emplois ont réagi de manière différenciée.
La politique de l'emploi en 1994 repose essentiellement sur la loi quinquennale du 21 décembre 1993, précédée par les mesures d'urgence de juillet 1993 et complétée par des lois, règlements ou accords entre partenaires sociaux.
La participation dégagée au titre de l'exercice 1992 est estimée à près de 15 milliards de Francs, pour un peu moins de 4,4 millions de salariés couverts par un accord de participation, soit 3 400 F par salarié.
L'intéressement versé au titre de l'exercice 1992 représente environ 8 milliards de Francs pour 2,7 millions de salariés couverts.
Les résultats de l'année 1991 sont peu différents de ceux des années précédentes. La proportion de primes dans la rémunération brute globale est voisine pour les différentes catégories socioprofessionnelles. Elle s'élève en moyenne à 14,5 %.
A la fin du deuxième trimestre 1991, 308 entreprises d'insertion étaient en activité, avec une moyenne de 11 salariés recrutés sous un " statut d'insertion ". Ces nombres sont en augmentation de 20 % par rapport à 1990.