Les demandeurs d'emploi
- 28 mai 2024
En avril 2024, on compte 5 368 500 demandeurs d'emploi inscrits à France Travail en catégorie A, B, C en France (-0,4 % sur un mois).
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En avril 2024, on compte 5 368 500 demandeurs d'emploi inscrits à France Travail en catégorie A, B, C en France (-0,4 % sur un mois).
Séries sur le nombre d'entrées en formation et taux d'entrée en formation des demandeurs d'emploi inscrits à France Travail (ex-Pôle emploi) en catégories A, B, C, ou en CRP, CTP, CSP (catégorie D) depuis janvier 2006.
Depuis plus de 20 ans, la sociologie de l'action publique a documenté la manière dont les réformes de l'État ont contribué à importer, dans les ministères, des instruments managériaux issus des grandes entreprises.
En 2022, en France, 47 % des adultes ayant terminé leur formation initiale déclarent avoir suivi une formation au cours des douze derniers mois, que ce soit dans un but professionnel ou personnel.
Le marché de l'emploi français subit des secousses post-crise, avec une augmentation significative des ruptures de contrats à durée indéterminée (CDI) pendant la période d'essai.
Au 3e trimestre 2023, les fins de CDI s’établissent à 22 % au-dessus de leur niveau d’avant-crise dans les Ehpad privés, 15 % pour les hôpitaux privés et 18 % dans le secteur privé pris dans son ensemble.
Ce quatrième rapport du comité scientifique de l’évaluation du PIC dresse un bilan à l’issue de cinq années de déploiement et complète les constats établis par les éditions précédentes.
Chaque année, le groupe d'experts sur le salaire minimum interprofessionnel de croissance (Smic) remet au Gouvernement et à la Commission nationale de la négociation collective un rapport analysant l’impact du Smic sur l’économie française.
Alors que l’État a fortement encouragé et financé l’articulation entre chômage partiel et formation pendant la crise sanitaire, seule une minorité de salariés placés en activité partielle a suivi une formation en 2020.
3,1 millions de salariés du secteur privé non agricole bénéficient directement de la revalorisation du 1er janvier 2023, soit 17,3 % des salariés.