Les mouvements de main-d'œuvre au second semestre 2000
- 11 novembre 2001
- Dares Indicateurs N°46.2
À la fin 2000, les mouvements de main d’œuvre ont atteint une intensité record, du fait de la persistance de la croissance économique.
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À la fin 2000, les mouvements de main d’œuvre ont atteint une intensité record, du fait de la persistance de la croissance économique.
En 1999, deux embauches sur trois ont été réalisées sous forme de contrats à durée déterminée (CDD).
L’analyse des accords conclus entre employeurs et représentants des salariés au premier trimestre 2001 montre que 13 % des entreprises reprennent les négociations salariales après une période de gel des rémunérations consécutive à la réduction du temps de travail.
Depuis la promulgation de la loi du 13 juin 1998 d'incitation à la négociation de la réduction du temps de travail, l'activité conventionnelle des entreprises a connu un développement considérable.
Au premier semestre 2000, la croissance de l’emploi dans les établissements de 10 salariés ou plus est encore vive.
En fin d’année 1999, dans les établissements de 10 salariés ou plus, les flux des entrées sorties de salariés continuent à grossir, en lien avec la situation favorable du marché de l’emploi.
Les entrées et les sorties de personnel, dans les établissements de 10 salariés ou plus, sont des mouvements très saisonniers sur l’année.
La poursuite de la croissance économique se traduit par une hausse des mouvements de personnel au premier semestre 1999.
L’enquête visait à suivre la durée annuelle du travail et la structure des gains.
En 1997 et 1998, les mouvements de main-d’oeuvre se sont amplifiés, ce qui est une conséquence directe de la reprise de l’activité économique.