L'activité de l'intérim en 1995
- 5 août 1996
- Dares Indicateurs N°34.3
Près de 6,3 millions de missions d'intérim ont été effectuées au cours de l'année 1995, représentant en moyenne 260 000 intérimaires en fonction à la fin de chaque mois.
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Près de 6,3 millions de missions d'intérim ont été effectuées au cours de l'année 1995, représentant en moyenne 260 000 intérimaires en fonction à la fin de chaque mois.
En quoi la négociation collective de branche influence-t-elle la politique salariale des entreprises ? Cette question a été examinée dans six branches professionnelles du secteur tertiaire (magasins populaires, coiffure, banque) et de l'industrie (chaussure, habillement, chimie).
Plus de 88 000 chômeurs ont bénéficié en 1995 du programme public d'aide à la création ou la reprise d'entreprise. Les bénéficiaires du revenu minimum d'insertion sont aussi plus nombreux qu'en 1994.
Deux recherches réalisées par deux équipes de recherche du CNRS - le GREE et l'IEPE ont analysé les objectifs, les conditions et les modalités de la mise en œuvre des plans sociaux, ainsi que leurs effets sur les transformations du travail.
1994 a été une année faste pour l'intérim, durement éprouvé par la récession précédente. Cette prospérité retrouvée s'est prolongée au début de 1995.
L'année 1992 s'est caractérisée par l'amorce d'un repli quasi général du nombre d'accords d'entreprises : 6 405 accords signés en 1992 ont été déposés dans les Directions Départementales du Travail, de l'Emploi et de la formation professionnelle, soit 5 % de moins qu'en 1991.
Au début de l'année 1993, la montée du chômage et la faiblesse de l'inflation se sont accompagnées d'un ralentissement brutal de la progression des salaires. Le taux de salaire horaire ouvrier a progressé de 0,5 % au premier trimestre.
Pour la première fois depuis 1987, le nombre de chômeurs qui créent ou reprennent une entreprise en bénéficiant de l'ACCRE augmente en 1992. Les entreprises créées sont majoritairement des entreprises individuelles des services marchands, du commerce et du bâtiment.
Dans leurs négociations visant à revaloriser les bas salaires, les branches conventionnelles tendent en général à instaurer des salaires minima garantis plutôt qu'à refondre leur classification salariale.
Avec 7,4 millions de contrats, l'activité de l'intérim en 1991 a été inférieure de 1,6 % à celle de 1990.