Une croissance plus riche en emplois
- 16 février 2001
- Dares Analyses N°07.1
Suite au premier choc pétrolier de 1973, en France comme chez tous ses partenaires, la croissance de la production et celle de l'emploi ont ralenti.
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Suite au premier choc pétrolier de 1973, en France comme chez tous ses partenaires, la croissance de la production et celle de l'emploi ont ralenti.
L'emploi salarié a augmenté de 0,3 % en novembre 2000.
Depuis 1994, l'emploi dans les métiers de la logistique croît plus fortement que dans l'ensemble de l'économie.
La création d’emplois se poursuit à un rythme élevé : 121 000 nouveaux emplois sont comptabilisés dans les secteurs concurrentiels non agricoles.
L'année 1992 s'est caractérisée par l'amorce d'un repli quasi général du nombre d'accords d'entreprises : 6 405 accords signés en 1992 ont été déposés dans les Directions Départementales du Travail, de l'Emploi et de la formation professionnelle, soit 5 % de moins qu'en 1991.
La baisse de l'emploi salarié s'est ralentie au cours du troisième trimestre 1993. Les effectifs salariés dans les secteurs marchands non agricoles ont diminué de 0,1 point seulement, et le secteur tertiaire marchand a créé des emplois (+ 0,2 %) alors qu'il en perdait depuis un an.
Depuis 1990, la France perd à nouveau des emplois du fait du ralentissement de l'activité économique. Mais la fin récession de la fin 1992 et du début 1993 se traduit par une accélération de la montée du chômage au cours du premier semestre de cette année.
Début 1993, près de 1,4 millions de personnes sont salariées sous une forme particulière d'emploi : contrats à durée déterminée (CDD), contrats de travail temporaire, contrats d'apprentissage, les stages et contrats aidés.
En septembre 1993, 7,8 % des ouvriers ont bénéficié d'une augmentation de salaire (données CVS) : c'est la proportion la plus faible enregistrée depuis octobre 1986. Malgré un rebond observé en août 1993, elle s'inscrit dans la phase de décroissance de la part d'ouvriers augmentés amorcée en juin 1993.
Le " modèle français " est actuellement celui d'une division du travail entre générations, où la collectivité prend en charge les jeunes et les travailleurs âgés lorsqu'ils sont exclus du système productif.