Aide à l’emploi et à l’insertion des jeunes en 2001
- 2 février 2003
- Dares Résultats N°08.2
Les entrées dans le programme « nouveaux services-emplois jeunes » et dans les dispositifs de formation en alternance se sont nettement ralenties en 2001.
8 résultats
Les entrées dans le programme « nouveaux services-emplois jeunes » et dans les dispositifs de formation en alternance se sont nettement ralenties en 2001.
L'année 1992 s'est caractérisée par l'amorce d'un repli quasi général du nombre d'accords d'entreprises : 6 405 accords signés en 1992 ont été déposés dans les Directions Départementales du Travail, de l'Emploi et de la formation professionnelle, soit 5 % de moins qu'en 1991.
Au début de l'année 1993, la montée du chômage et la faiblesse de l'inflation se sont accompagnées d'un ralentissement brutal de la progression des salaires. Le taux de salaire horaire ouvrier a progressé de 0,5 % au premier trimestre.
Au cours de l'année 1992, près de 2 millions de personnes ont été embauchées, sont entrées en stage ou ont accédé à des mesures d'accompagnement des restructurations grâce à l'un des dispositifs publics de la politique d'emploi.
Dans la gamme des formations en alternance destinées aux jeunes de 16 à25 ans, les contrats de qualification occupent la première place parmi les contrats d'insertion (contrats de qualifications, contrats d'adaptation et contrats d'orientation).
Après deux années de stabilité, le nombre d'entrées en apprentissage recommence à diminuer en 1992 : 129 600 contre 131 800 un an plus tôt.
Dans leurs négociations visant à revaloriser les bas salaires, les branches conventionnelles tendent en général à instaurer des salaires minima garantis plutôt qu'à refondre leur classification salariale.
Avec environ 6 750 accords conclus en 1991, l'activité conventionnelle d'entreprise ou d'établissement poursuit son extension, malgré le recul du nombre d'accords salariaux lié au ralentissement des hausse de salaires.