Le devenir des personnes sorties de contrat aidé en 2017
- 9 avril 2019
- Dares Résultats N°017
Près de 80 % des personnes ayant bénéficié d’un contrat aidé déclarent y avoir développé ou acquis des compétences.
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Près de 80 % des personnes ayant bénéficié d’un contrat aidé déclarent y avoir développé ou acquis des compétences.
Pour la première fois en France, cette étude estime des taux de couverture patronale, en termes d’entreprises et de salariés couverts.
Dans 38 % des établissements de plus de 10 salariés, les représentants de la direction déclarent qu’une négociation collective au moins s’est déroulée entre 2014 et 2016, dans l’établissement, l’entreprise ou l’unité économique et sociale (UES).
L'année 1994 s'est caractérisée par un regain de la négociation d'entreprise, qui se poursuit en début d'année 1995. Les accords portant sur la durée du travail ont été le moteur de cette reprise en 1994, tandis que ceux portant sur les salaires se redressent au début de 1995.
Les augmentations de salaire négociées par les entreprises en début d'année, dans le cadre de la négociation annuelle obligatoire, ont été légèrement plus fortes qu'un an plus tôt, 2,3 % en moyenne par accord contre 2,0 %.
En 1994, les employeurs du secteur non marchand ont signé 715 000 CES (+ 9 % par rapport à 1993) et 25 000 CEC (soit près de quatre fois le nombre de contrats signés en 1993).
Les bénéficiaires de Contrat de retour à l'emploi (CRE) signés en juillet 1993 sont relativement bien informés sur les dispositifs existants, et plutôt autonomes dans leur rechercher d'emploi.
L'impact des mesures de la politique de l'emploi dans les quartiers en difficulté a été en 1992 avant tout lié à la nature des dispositifs.
Près de 2,4 millions de personnes ont bénéficié de mesures de politique d'emploi en 1994, soit environ 8 % de plus qu'en 1993.
En mars 1994, les établissements de plus de 10 salariés employaient 57 000 apprentis et 102 000 autres contrats d'alternance.