Participation, intéressement et épargne salariale en 2020
- 28 avril 2022
- Dares Résultats N°19
En 2020, 9,5 millions de salariés ont accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou un plan d’épargne salariale.
11 résultats
En 2020, 9,5 millions de salariés ont accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou un plan d’épargne salariale.
56,1 % des 55-64 ans sont en emploi au 4e trimestre 2021. Retrouvez les dernières données disponibles sur la situation des seniors sur le marché du travail.
La Dares a réalisé une étude pour la réunion du Conseil d'orientation des retraites du 27 janvier 2022 dédiée à la question de l'âge de la retraite.
En 1994, les salariés du secteur privé et semi-public ont perçu en moyenne 14,5 % de leur rémunération sous forme de primes. Les primes mensuelles représentent 6,7 % de la rémunération totale (6,6 % en 1993). La part des primes non mensuelles est stable : 7,8 %.
Au total, fin 1994, 210 000 personnes se trouvaient dans l'un des dispositifs publics de préretraite, et 111 000 personnes de 55 à 59 ans étaient inscrits à l'ANPE.
Le travail à temps partiel se développe en France depuis le début des années 80. Il concerne désormais près de 16 % des salariés. Son développement a été accompagné par diverses mesures prises par les pouvoirs publics tout au long de ces dernières années.
Encore essentiellement féminin, le travail à temps partiel prend de plus en plus d'importance. Il a augmenté de 20 % entre 1991 et 1994, et concerne 15 % des actifs.
L'allongement progressif de 150 à 160 trimestres des durées de cotisations pour l'accès à une retraite à taux plein, aura surtout des conséquences pour les populations en situation de chômage ou de préretraite à la fin de leur vie professionnelle.
La participation dégagée au titre de l'exercice 1992 est estimée à près de 15 milliards de Francs, pour un peu moins de 4,4 millions de salariés couverts par un accord de participation, soit 3 400 F par salarié.
Début 1994, 55 % des Français croyaient en l'efficacité d'un développement du travail à temps partiel pour réduire le chômage et 42 % estimaient qu'une réduction généralisée pouvait créer des emplois.