Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre : enquête trimestrielle
- 10 avril 2024
L'enquête Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre (Acemo) permet notamment de calculer les évolutions des salaires.
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L'enquête Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre (Acemo) permet notamment de calculer les évolutions des salaires.
Depuis 2019, la note moyenne à l’Index augmente de 3,6 points et la part des notes inférieures à 75 se réduit de moitié.
Effectifs et caractéristiques d’emploi, localisation, mixité, salaires : retrouvez sous forme interactive toutes les dernières données pour chacune des branches professionnelles. Les conventions collectives sont ici identifiées par le code IDCC et regroupées par Cris.
En 2022, 10,8 % des personnes en emploi travaillent au moins une fois de nuit sur une période de quatre semaines consécutives, en moyenne sur l'année. Cette part est en hausse par rapport à 2021 (+0,8 point) mais ne retrouve pas son niveau datant d’avant la crise sanitaire liée au Covid-19 (11,9 % en 2019).
23,5 % des personnes en emploi ont travaillé au moins un dimanche sur une période de quatre semaines consécutives, en moyenne en 2022. Cette part est en légère hausse par rapport à 2020 mais n'a pas retrouvé son niveau d'avant-crise.
En 2020, le salaire brut mensuel moyen en équivalent temps plein (EQTP) d’un salarié couvert par une convention collective du privé s’élève à 3350 euros. Net de tous prélèvements sociaux, il atteint 2 556 euros, en hausse de 3,2 % en euros constants par rapport à 2019.
Pour un salarié à temps complet, travailler la nuit a pour contrepartie un salaire mensuel net plus important que pour un salarié de profil similaire ne pratiquant pas cet horaire.
Sur les trente dernières années, la part des ménages sans emploi croît de façon quasi continue, alors que, jusqu’en 2008, la proportion de personnes sans emploi dans la population en âge de travailler diminue sous l’effet de la hausse de l’emploi féminin.
La diminution de la taille des ménages constitue le principal facteur d’augmentation de la part des ménages sans emploi : elle y contribue pour 1,3 point entre 1990 et 2001, 0,6 point entre 2001 et 2009 et 1,0 point entre 2009 et 2019.
Les femmes se forment moins que les hommes. Entre 2010 et 2015, elles sont 60 % à avoir suivi au moins une formation professionnelle, contre 65 % des hommes