Le coût des politiques de l'emploi en 2006
- 15 juillet 2008
- Dares Résultats N°30.1
Le coût des politiques de l’emploi est estimé à 33,1 milliards d’euros en 2006 :
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Le coût des politiques de l’emploi est estimé à 33,1 milliards d’euros en 2006 :
Depuis le mois de janvier 2007, l’Unédic et l’ANPE expérimentent de façon conjointe des prestations d’accompagnement renforcé des demandeurs d’emploi présentant des risques de chômage de longue durée.
Depuis le mois de janvier 2007, l’Unédic et l’ANPE expérimentent de façon conjointe des prestations d’accompagnement renforcé des demandeurs d’emploi présentant des risques de chômage de longue durée.
Cette enquête pour objectif de comprendre les motivations qui conduisent certains salariés licenciés économiques à refuser les dispositifs d’accompagnement renforcé, de décrire l’accompagnement dispensé, d'analyser la situation professionnelle entre 13 et 18 mois après l’inscription à l’ANPE.
L’enquête visait notamment à recueillir des informations précises sur le processus d’entrée en parcours d’accompagnement, sur le contenu détaillé du parcours, sur les attentes et l’opinion des demandeurs d’emploi vis-à-vis des prestations proposées
L’Unédic et L’ANPE ont engagé, depuis le début de l’année 2007, deux expérimentations conjointes d’accompagnement renforcé des demandeurs d’emploi.
La dépense pour l'emploi (DPE) s'élève en 1986 à 182,4 milliards de francs, en augmentation de 7,5 % en Francs courants et de 4,7 % en Francs constants par rapport à l'année précédente. Ce dernier taux est comparable à celui observé en 1985 (+4,6 %).
Près de 36 000 personnes ont bénéficié en 1986 d'un stage de formation financé par le Fonds national de l'emploi à l'intention des chômeurs de longue durée, c'est-à-dire inscrits depuis un an au moins à l'ANPE ou en situation de chômage répétitif.
Le 31 janvier 1987 marque la fin du plan d'urgence pour l'emploi des jeunes. Conçues pour dynamiser l'embauche des jeunes par les entreprises et conjuguer l'accès à l'emploi et la formation, elles offraient trois modalités d'exonération des cotisations sociales aux entreprises.
Par ordonnance du 17 juillet 1986, le gouvernement a mis en place un dispositif d'urgence destiné à faciliter l'embauche des jeunes. Les embauches qui ont bénéficié de ces dispositions s'élèvent à 947 565 (chiffre provisoire, hors D.O.M.) du 1er mai 1986 au 31 janvier 1987.