Les sortants de l’Insertion par l’activité économique
- 1 décembre 2022
L’enquête vise à mesurer l’insertion professionnelle des salariés ayant bénéficié d’un parcours d’insertion, six mois après leur sortie.
11 résultats
L’enquête vise à mesurer l’insertion professionnelle des salariés ayant bénéficié d’un parcours d’insertion, six mois après leur sortie.
40 % des personnes sorties d’une structure d’insertion par l’activité économique (IAE) en 2020 y ont suivi au moins une formation et 54 % ont bénéficié d’un accompagnement.
Ce dossier, réalisé pour le Rapport annuel sur l'état de la fonction publique, analyse la réussite des candidats aux différentes étapes du concours externe des instituts régionaux d’administration (IRA).
Lors de la crise sanitaire, le recul des CDD d’un jour ou moins a été particulièrement important dans l’hébergement-restauration (-95 % au 2e trimestre 2020 par rapport à l’avant-crise), du fait des fermetures administratives intervenues en 2020.
Après l’arrivée d’un enfant, de nombreux parents sont amenés à effectuer des ajustements dans leur vie professionnelle. Ces modifications sont fortement différenciées selon le genre.
Tous les secteurs sont touchés par la baisse de la proportion de CDD courts dans les embauches (hors intérim). Le recul est toutefois plus marqué dans certains d’entre eux.
267 200 nouveaux contrats de travail (hors intérim) sont signés entre les travailleurs handicapés et les établissements du secteur privé hors agriculture (soit 0,9 % des embauches sur ce champ), de septembre 2020 à décembre 2021.
Les femmes et les hommes salariés ne sont pas confrontés aux mêmes conditions de travail. La Dares a apporté son expertise à la publication « Femmes et hommes, l’égalité en question » (Insee Références, 2022).
La reprise des embauches en CDI est de 16 % entre mai et octobre 2021, par rapport à 2019, pour les plus petits établissements, contre 13 % pour ceux de taille intermédiaire et 4 % pour les plus grands.
À l'intérieur des entreprises, la présence syndicale repose encore souvent aujourd'hui sur des militants en majorité masculins, ce qui limite, de fait, la capacité des syndicats à assurer la mixité des listes en vue des élections.