L' insertion par l'activité économique en 2002
- 2 décembre 2003
- Dares Indicateurs N°52.1
En 2002, le nombre de structures d'insertion par l'activité économique (IAE) du secteur marchand est en légère diminution.
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En 2002, le nombre de structures d'insertion par l'activité économique (IAE) du secteur marchand est en légère diminution.
Les anciens salariés des EI se réinsèrent plus difficilement que ceux des AI ou ETTI, ils sont majoritairement au chômage au sortir de la structure.
L'emploi a fortement augmenté en 2000. Ainsi, parmi les établissements de 10 salariés ou plus du secteur concurrentiel, un sur deux a généré des emplois nouveaux contre moins de deux sur cinq en 1996.
En 2001, les chefs d'entreprise considèrent qu'une augmentation de la part des salariés de plus de 50 ans aura des effets positifs sur le plan collectif.
En fin d'année 1993, plus de 1 000 Associations Intermédiaires (A. I.) sont en activité. Globalement, l'emploi dans ces associations, tournées vers la réinsertion professionnelle de publics en grande difficulté, progresse de 26 % en un an.
Les entreprises d'insertion se sont fortement développées depuis 1990. Qu'il s'agisse du nombre d'entreprises conventionnées, du nombre de contrats d'insertion signés ou de salariés en insertion, ces chiffres ont en moyenne presque triplé entre 1990 et 1993.
Plus de quatre embauches aidées sur dix ont été directement induites par les aides. L'exonération pour la première embauche favorise le développement de l'entreprise.
Une large majorité des employeurs qui ont eu recours à un contrat de retour à l'emploi expriment une opinion favorable sur la mesure. Près de 70 % des chefs d'entreprise interrogés considèrent que l'aide est avantageuse en considération du travail.
Entre 1986 et 1988, la population des stagiaires s'est féminisée et rajeunie : la part des femmes est passée de 56 % à 63 % ; la part des plus jeunes c'est-à-dire les moins de 19 ans, de 26 % à 35 %.