Forte baisse du recours au chômage partiel en 2004
- 15 décembre 2005
- Dares Indicateurs N°50.2
En 2004, 1,9 millions de journées de chômage partiel, concernant 155 000 salariés, ont été autorisées en France métropolitaine.
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En 2004, 1,9 millions de journées de chômage partiel, concernant 155 000 salariés, ont été autorisées en France métropolitaine.
Entre juillet 2002 et décembre 2004, un peu plus de 200 000 jeunes ont été embauchés dans le cadre du dispositif « Soutien à l’emploi des jeunes en entreprise ».
Les jeunes qui ont terminé leurs études depuis au plus dix années se répartissent très inégalement dans les différents secteurs du tertiaire.
Cette enquête mesure annuellement les conditions d'emploi, l’impact du Smic, l’épargne salariale et les emplois vacants dans les entreprises de 1 à 9 salariés.
Après une légère hausse de 1,2 % en 1998, les entrées dans les dispositifs spécifiques de politique d'emploi ont à nouveau baissé en 1999 (- 3,4 %) elles se sont établies à 2,2 millions.
A la fin du 1er semestre 2000, un peu plus de 27 000 jeunes, embauchés entre 1997 et 1999 (hors Education nationale et Police nationale), étaient sortis du programme « nouveaux services-emplois jeunes ».
Entre octobre 1998, date de lancement du programme Trace, et décembre 1999, près de 42 000 jeunes ont intégré le dispositif.
La bonne conjoncture économique de 1999 s’est traduite par une stabilisation du recours au chômage partiel.
Le programme Trace (TRajectoires d’ACcès à l’Emploi), inclus dans la loi d’orientation du 29 juillet 1998 relative à la lutte contre les exclusions, a pour objectif l’insertion professionnelle durable de jeunes en difficulté.
En 1999, près de 89 000 jeunes ont été recrutés dans le cadre du dispositif « nouveaux services - emplois jeunes », ce qui porte à plus de 205 000 le nombre de jeunes embauchés depuis le lancement du programme.