Les demandeurs d'emploi
- 28 mai 2024
En avril 2024, on compte 5 368 500 demandeurs d'emploi inscrits à France Travail en catégorie A, B, C en France (-0,4 % sur un mois).
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En avril 2024, on compte 5 368 500 demandeurs d'emploi inscrits à France Travail en catégorie A, B, C en France (-0,4 % sur un mois).
Séries sur le nombre d'entrées en formation et taux d'entrée en formation des demandeurs d'emploi inscrits à France Travail (ex-Pôle emploi) en catégories A, B, C, ou en CRP, CTP, CSP (catégorie D) depuis janvier 2006.
Depuis plus de 20 ans, la sociologie de l'action publique a documenté la manière dont les réformes de l'État ont contribué à importer, dans les ministères, des instruments managériaux issus des grandes entreprises.
Un appel à projets de recherche visant à réaliser des travaux d’évaluation qualitative de l’expérimentation Territoires Zéro Chômeur de Longue Durée (TZCLD), qui permet à des personnes éloignées de l’emploi d'être embauchées en contrat à durée indéterminée par des entreprises créées de façon ad hoc.
Au 3e trimestre 2023, le nombre de plans de sauvegarde de l’emploi (PSE) validés et/ou homologués reste stable à 112 procédures. Celles-ci avalisent 9 000 ruptures de contrats, un nombre en baisse de 23 % sur le trimestre.
Alors que l’État a fortement encouragé et financé l’articulation entre chômage partiel et formation pendant la crise sanitaire, seule une minorité de salariés placés en activité partielle a suivi une formation en 2020.
En 2021, dans un contexte économique encore marqué par la crise sanitaire, 610 plans de sauvegarde de l’emploi (PSE) sont mis en oeuvre.
En janvier 2021, parmi les personnes ayant travaillé au moins une semaine depuis le début de la pandémie en mars 2020, 96 % ont conservé leur emploi : 93 % continuent de travailler tandis que 3 % ne travaillent pas du tout et sont en « activité partielle ».
Quel lien entre le coût de l'activité partielle du point de vue de l'entreprise et l'intensité du recours à l'activité partielle ?
Quatre rapports d'études pour mieux comprendre les premiers effets de la crise sanitaire sur le marché du travail.