La situation sur le marché du travail au 1er trimestre 2024
- 24 mai 2024
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Emploi, chômage, difficultés de recrutement, salaires… Retrouvez les chiffres clés sur le marché du travail au 1er trimestre 2024.
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Emploi, chômage, difficultés de recrutement, salaires… Retrouvez les chiffres clés sur le marché du travail au 1er trimestre 2024.
Au 1er trimestre 2024, dans les entreprises du secteur privé (hors agriculture, intérim, particuliers employeurs et activités extraterritoriales), le taux d’emplois vacants s’élève à 2,7 %. Il baisse de 0,2 point par rapport au trimestre précédent, et de 0,6 point sur un an.
Sur l’ensemble du secteur salarié privé (hors agriculture, intérim, particuliers employeurs et activités extraterritoriales), 615 000 emplois sont vacants en moyenne en 2023, dont 40 % dans les entreprises de 1 à 9 salariés.
Si l’enquête Conditions de travail permet d’objectiver les différentes formes de pénibilité auxquelles sont exposés les salariés dans leur travail, elle ne permet d’en mesurer ni l’intensité, ni la durée.
52% des salariés sont exposés de manière « élevée ou très élevée » aux facteurs de pénibilité physique.
Au 4e trimestre 2023, le nombre moyen d’heures supplémentaires par salarié à temps complet et dont le temps de travail est décompté en heures (i.e. hors salariés au forfait jour) est de 17,5 heures, en légère hausse sur un an (+1,7 %).
En 2019, moins de la moitié des établissements ont un document unique d’évaluation des risques professionnels (DUERP) à jour. Le DUERP ainsi que les mesures de prévention sont plus fréquents dans les secteurs d’activité où les salariés sont le plus exposés.
Emploi, chômage, difficultés de recrutement, salaires… Retrouvez les chiffres clés sur le marché du travail au 4e trimestre 2023.
9 jeunes sortants de la voie professionnelle sur 10 sont exposés à au moins un risque physique ou chimique sur leur poste de travail, et 6 sur 10 à trois de ces risques ou plus, en 2017.
En 2022, les tensions sur le marché du travail continuent d’augmenter dans la très grande majorité des métiers et atteignent leur plus haut niveau depuis 2011. Elles demeurent particulièrement fortes dans ceux de l’industrie, du bâtiment, de l’informatique et des télécommunications, ainsi que pour les infirmiers.