Les bénéficiaires des politiques de l'emploi
- 30 décembre 2002
- Dares Analyses n°52.3
L'insertion des bénéficiaires sortis des mesures des politiques de l'emploi fin 1999 a été grandement facilitée par le contexte économique favorable de l'époque.
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L'insertion des bénéficiaires sortis des mesures des politiques de l'emploi fin 1999 a été grandement facilitée par le contexte économique favorable de l'époque.
Au troisième trimestre 2002, la durée hebdomadaire du travail recule légèrement : - 0,1 %.
Fin 2001, 2 128 structures d'insertion par l'activité économique, conventionnées par les préfets, étaient en activité en France, nombre en légère baisse par rapport à l'année précédente.
Les flux de main-d'oeuvre fléchissent au début de l'année 2002, en raison d'un repli des entrées pour tous les secteurs, conduisant à un resserrement du solde des entrées et des sorties.
Au troisième trimestre 2002, le secteur concurrentiel crée 22 000 emplois salariés (+0,1 %).
En octobre 2002, l'emploi salarié progresse légèrement de 0,1 % dans l'ensemble des secteurs concurrentiels.
Après une légère remobilisation de l'électorat entre 1990 et 1994, la participation aux élections professionnelles s'est à nouveau effritée entre 1998 et 2000, passant de 65,7 % à 63,7 %.
Pendant treize ans, de 1989 à 2001, l'exonération pour l'embauche d'un premier salarié a aidé les chefs d'entreprise à créer leur premier emploi. Peu remanié, le dispositif a enregistré plus d'un million d'entrées.
Interrogés sur leur travail, sur leurs conditions de vie et sur leurs perspectives, les salariés en contrat emploi-solidarité (CES), en contrat emploi consolidé (CEC) ou en contrat emploi-jeune expriment des opinions convergentes sur plusieurs points essentiels.
Parmi les 940 000 jeunes en contact en 2000 avec le réseau des missions locales et permanences d'accueil d'information et d'orientation, 365 000 sont des premiers entrants, accueillis majoritairement lors d'un entretien individuel.