L'intérim au premier semestre 1998
- 3 décembre 1998
- Dares Indicateurs N°51.1
La progression du travail temporaire s'est poursuivie à un rythme rapide au premier semestre 1998, même si elle s'est légèrement ralentie depuis quelques mois.
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La progression du travail temporaire s'est poursuivie à un rythme rapide au premier semestre 1998, même si elle s'est légèrement ralentie depuis quelques mois.
Le troisième trimestre 1998 est toujours bien orienté en matière d’évolution du marché du travail, même si les rythmes de création d’emplois et de baisse de chômage semblent se ralentir quelque peu par rapport aux trimestres précédents.
En dépit d’un léger ralentissement des créations d’emplois, le second trimestre 1998 reste bien orienté du point de vue de l’évolution de la situation du marché du travail.
En 1996, le suivi d’une cohorte de chômeurs dans huit zones d’emploi montre que si l’âge, la qualification et le sexe demeurent fortement discriminants dans le processus d’insertion ou de réinsertion professionnelle, l’importance de ces facteurs varie selon le marché local de l’emploi.
Les évolutions de l’emploi et du chômage observées au cours du premier trimestre de 1998 prolongent celles relatives au trimestre précédent, confirmant ainsi l’amélioration de la situation du marché du travail.
Le travail temporaire a connu une année 1997 particulièrement favorable après une année 1996 assez terne.
Le dernier trimestre de l’année 1997 est marqué par une nette amélioration de la situation de l’emploi.
Le premier semestre 1997 a été favorable à l’activité intérimaire : le volume de travail temporaire a progressé de 14 % par rapport au premier semestre 1996, pour s’établir à 313 000 emplois en équivalents-temps plein.
Avec 7,4 millions de contrats, l'activité de l'intérim en 1991 a été inférieure de 1,6 % à celle de 1990.
4 600 000 contrats de travail temporaire ont été conclus au cours des trois premiers trimestres de 1992, avec un minimum de 431 000 contrats en février et 577 000 en juin. Ils correspondent à un effectif moyen d'intérimaires en fin de mois supérieur à 315 000.