Les demandeurs d'emploi
- 28 mai 2024
En avril 2024, on compte 5 368 500 demandeurs d'emploi inscrits à France Travail en catégorie A, B, C en France (-0,4 % sur un mois).
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En avril 2024, on compte 5 368 500 demandeurs d'emploi inscrits à France Travail en catégorie A, B, C en France (-0,4 % sur un mois).
Depuis plus de 20 ans, la sociologie de l'action publique a documenté la manière dont les réformes de l'État ont contribué à importer, dans les ministères, des instruments managériaux issus des grandes entreprises.
Fin mars 2024, 754 500 personnes occupent un emploi intérimaire (données provisoires, corrigées des variations saisonnières), soit une hausse de 0,8 % par rapport au mois précédent (soit +5 700 intérimaires), après −0,7 % en février 2024 et −0,3 % en janvier 2024.
Au 4e trimestre 2023, 67 000 salariés seraient en activité partielle en moyenne chaque mois, après 51 000 au 3e trimestre 2023, soit une hausse de 33 % (non corrigée des variations saisonnières).
Aujourd'hui, beaucoup d'offres d'emploi sont publiées en ligne, et parfois sur différents sites internet. Avec Jocas, la Dares utilise ces millions d'offres pour contribuer à améliorer la compréhension du marché du travail. Yannis Bouachera, data scientist à la Dares, nous explique.
L’emploi intérimaire poursuit son recul au 4e trimestre 2023 (-1,7 %, soit -13 000 intérimaires), après une baisse d'ampleur similaire au 3e trimestre (-2,0 %, soit -15 800 intérimaires au 3e trimestre 2023). Sur un an, il diminue de 6,6 %.
Le nombre de salariés concernés augmente progressivement jusqu’en avril 2021, où il atteint 271 000, mais représente alors une part marginale de l’activité partielle (10 %).
Une analyse qualitative, sous la responsabilité scientifique d’un enseignant-chercheur de l’Université Paris-Est Créteil, visant à interroger la logique de construction et de mise en œuvre de dispositifs d’accompagnement et de formation à destination de réfugiés.
Ce quatrième rapport du comité scientifique de l’évaluation du PIC dresse un bilan à l’issue de cinq années de déploiement et complète les constats établis par les éditions précédentes.
Alors que l’État a fortement encouragé et financé l’articulation entre chômage partiel et formation pendant la crise sanitaire, seule une minorité de salariés placés en activité partielle a suivi une formation en 2020.