Insertion à six mois des sortants de contrat de professionnalisation (depuis 2011)
- 20 décembre 2022
L’enquête vise à étudier la situation des bénéficiaires de contrat de professionnalisation six mois après leur sortie de contrat.
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L’enquête vise à étudier la situation des bénéficiaires de contrat de professionnalisation six mois après leur sortie de contrat.
En 2021, les entrées en contrat de professionnalisation s’établissent à 120 600 et augmentent pour la première fois depuis 2019 (+7 % sur un an).
Garantie jeune, insertion par l'activité économique, parcours emploi compétences... 1,8 million d'entrées sont comptées dans ces dispositifs entre mi-2020 et mi-2021, soit une hausse de 41 % sur un an.
En 2020, 9,5 millions de salariés ont accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou un plan d’épargne salariale.
Fin 1991, le nombre d'accords de participation en vigueur s'élevait à plus de 11 000, soit une augmentation de 8 % sur un an. 13 549 entreprises employaient près de 4,8 millions de salariés. Le montant moyen de la prime individuelle créditée aux bénéficiaires était de 5 024 Francs.
Dans l'ensemble des entreprises appliquant un accord, un salarié sur quatre n'a touché aucune prime d'intéressement en 1991, au lieu d'un sur dix seulement en 1990. Pour les bénéficiaires, la prime moyenne reçue a baissé d'environ 10 %.
Une entreprise sur quatre disposant d'un système légal de partage du profit, intéressement ou participation, a mis en place un plan d'épargne d'entreprise (P.E.E.).
Dans la gamme des formations en alternance destinées aux jeunes de 16 à25 ans, les contrats de qualification occupent la première place parmi les contrats d'insertion (contrats de qualifications, contrats d'adaptation et contrats d'orientation).
En 1992, les salariés du secteur privé et semi-public ont perçu en moyenne 14,5 % de leur rémunération sous forme de primes. Celles-ci ont été versées à cadence mensuelle à hauteur de 6,5 % et à périodicité différente à hauteur de 8,0 %.