Analyse économique des liens entre l’épargne salariale et les politiques de rémunération
- Le 15 novembre 2013
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En 2011, 56,5 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,8 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
La dépense pour l'emploi, y compris les allègement généraux, s'élève à 76, 4 milliards d'euros en 2006.
La loi du 1er décembre 2008 généralisant le revenu de solidarité active (RSA) et réformant les politiques d’insertion a réorganisé l’ensemble du processus visant à orienter et à accompagner dans un parcours d’insertion les personnes bénéficiaires du RSA.
Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail, ciblées ou générales, sont estimées à 90,8 milliards d’euros (Md€) en 2010, soit 4,7 points de PIB.
Les collectivités territoriales se désengagent progressivement parmi les employeurs au profit des associations et des établissements publics.
Près d'un salarié sur trois a dorénavant accès à un PEE.
En 2003, le nombre d'entrées dans les contrats initiative emploi (CIE) progresse de 25 %, pour s'établir à 65 000.
En 2002, de très nombreux acteurs prennent ainsi en charge, en partie ou en totalité, certains des dispositifs d'emploi et d'insertion.