L'apprentissage en 1990 et 1991
- 7 janvier 1992
- Dares Indicateurs N°261
Sur l'ensemble de l'année 1991 et pour la France entière , le nombre d'entrées en apprentissage est stable : 131 797 contrats signés, soit 600 de plus qu'en 1990.
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Sur l'ensemble de l'année 1991 et pour la France entière , le nombre d'entrées en apprentissage est stable : 131 797 contrats signés, soit 600 de plus qu'en 1990.
Le salaire minimum a progressé de 4,6 % en un an du 10'juillet 1989 au 1erjuillet 1990, ce qui correspond à un gain de pouvoir d'achat de 1,6 %, identique à celui du taux de salaire ouvrier.
Au cours de l'année 1990, 1,45 million de personnes ont été embauchées ou sont entrées en stage grâce à l'un des dispositifs de la politique de l'emploi.
Le salaire minimum a progressé de 4,0 % en un an de juillet 1988 à juillet 1989, soit autant que le taux de salaire horaire ouvrier.
Ces résultats confirment l'idée que les contrats de travail aidés (contrat d'adaptation et contrat de qualification débouchent plus fréquemment sur un emploi, même si cela résulte pour partie d'une sélection préalable à l'entreprise.
Le salaire minimum a progressé de 3,3 % en un an, de juillet 1987 à juillet 1988. La proportion de salariés bénéficiaires directs du relèvement du SMIC au 1er juillet 1988 est de 7,0 % dans les établissements de 10 salariés et plus.
Après avoir sensiblement décru entre 1980 et 1984, le nombre des contrats d'apprentissage enregistrés par le Ministère du Travail connaît depuis cette date une croissance continue.
Du 1er janvier au 30 novembre 1988, plus de 420 000 jeunes ont été recrutés sur l'une des formules de formation en alternance : 276 000 en stage d'initiation à la vie professionnelle, 89 000 en contrat d'adaptation et 56 000 en contrat de qualification.
La proportion de salariés bénéficiaires directs du relèvement du SMIC au 1er juillet 1987 est de 7,8 % dans les établissements de 10 salariés et plus de l'industrie, du commerce et des services. Dans les établissements comprenant moins de 10 salariés, elle atteint 20,4 %.
Le salaire minimum a progressé de 3,4 % en un an, de juillet 1985 à juillet 1986. La proportion de salariés bénéficiaires directs du relèvement du SMIC au 1er juillet 1986 est de 8,9 % dans les établissements de 10 salariés et plus de l'industrie, du commerce et des services.