Les salariés au Smic et à la garantie mensuelle au 1er juillet 2001
- 1 juillet 2002
- Dares Indicateurs N°27.1
30,1 % de salariés bénéficiaires dans les plus petites entreprises contre 4,7 % dans les plus grandes.
8 résultats
30,1 % de salariés bénéficiaires dans les plus petites entreprises contre 4,7 % dans les plus grandes.
En 2000, les entreprises des secteurs marchands non agricoles ont distribué 7,6 milliards d'euros (49,7 milliards de francs) au titre de la participation ou de l'intéressement à près de 5,6 millions de salariés (37,6 % des salariés).
Fin 1991, le nombre d'accords de participation en vigueur s'élevait à plus de 11 000, soit une augmentation de 8 % sur un an. 13 549 entreprises employaient près de 4,8 millions de salariés. Le montant moyen de la prime individuelle créditée aux bénéficiaires était de 5 024 Francs.
Dans l'ensemble des entreprises appliquant un accord, un salarié sur quatre n'a touché aucune prime d'intéressement en 1991, au lieu d'un sur dix seulement en 1990. Pour les bénéficiaires, la prime moyenne reçue a baissé d'environ 10 %.
Une entreprise sur quatre disposant d'un système légal de partage du profit, intéressement ou participation, a mis en place un plan d'épargne d'entreprise (P.E.E.).
En 1992, les salariés du secteur privé et semi-public ont perçu en moyenne 14,5 % de leur rémunération sous forme de primes. Celles-ci ont été versées à cadence mensuelle à hauteur de 6,5 % et à périodicité différente à hauteur de 8,0 %.
Dans leurs négociations visant à revaloriser les bas salaires, les branches conventionnelles tendent en général à instaurer des salaires minima garantis plutôt qu'à refondre leur classification salariale.
Les salariés au SMIC représentaient 8,6% de l'ensemble des salariés au 1er juillet 1992, proportion identique à celle relevée un an plus tôt. Cette stabilité s'explique en partie par la diminution des effets de la renégociation des bas salaires.