Brusque reprise des demandes de chômage partiel en 2001
- 18 août 2002
- Dares Indicateurs N°37.1
En 2001, le ralentissement de la croissance économique s’est traduit par une brusque remontée de la demande de chômage partiel.
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En 2001, le ralentissement de la croissance économique s’est traduit par une brusque remontée de la demande de chômage partiel.
30,1 % de salariés bénéficiaires dans les plus petites entreprises contre 4,7 % dans les plus grandes.
La bonne conjoncture économique de 1999 s’est traduite par une stabilisation du recours au chômage partiel.
En juillet 1999, 12,8 % des salariés ont bénéficié de la revalorisation du SMIC horaire.
En 1998, du fait d’une conjoncture économique favorable, le recours au chômage partiel a fortement diminué.
En 1992, le chômage partiel a continué à augmenter. Il est passé de 7,6 millions de journées indemnisable en 1991 à 10,7 millions en 1992, soit une augmentation de 41 %.
Dans leurs négociations visant à revaloriser les bas salaires, les branches conventionnelles tendent en général à instaurer des salaires minima garantis plutôt qu'à refondre leur classification salariale.
Les salariés au SMIC représentaient 8,6% de l'ensemble des salariés au 1er juillet 1992, proportion identique à celle relevée un an plus tôt. Cette stabilité s'explique en partie par la diminution des effets de la renégociation des bas salaires.