L'emploi intérimaire au 2e trimestre 2006
- 6 octobre 2006
- Dares Indicateurs N°41.2
À la fin du deuxième trimestre 2006, 637 500 salariés sont intérimaires, soit 34 100 de plus qu’au trimestre précédent (+5,6 %).
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À la fin du deuxième trimestre 2006, 637 500 salariés sont intérimaires, soit 34 100 de plus qu’au trimestre précédent (+5,6 %).
À la fin du premier trimestre 2006, 599 000 salariés sont intérimaires, soit 8 000 de moins qu’au trimestre précédent (-1,3 %).
En 2005, le volume de l’intérim atteint 586 000 équivalents-emplois à temps plein.
Avec 588 000 équivalents-emplois à temps plein au quatrième trimestre 2005, l’intérim crée 2 000 postes (+0,3 %), après la baisse enregistrée au troisième trimestre (- 1 000, soit -0,2 %).
À la fin du troisième trimestre 2005, 603 000 salariés sont intérimaires, soit 10 000 de plus qu’au trimestre précédent (+1,8 %) et 25 000 de plus qu’à la fin du troisième trimestre 2004 (+4,3 %).
Globalement, la conflictualité décroît depuis plus d'une décennie. Ainsi, sur la période 1982 - 1992, le nombre moyen de jours de grève a été de 1,1 million par an. Il était de 3,3 millions entre 1971 et 181.
Avec 7,4 millions de contrats, l'activité de l'intérim en 1991 a été inférieure de 1,6 % à celle de 1990.
4 600 000 contrats de travail temporaire ont été conclus au cours des trois premiers trimestres de 1992, avec un minimum de 431 000 contrats en février et 577 000 en juin. Ils correspondent à un effectif moyen d'intérimaires en fin de mois supérieur à 315 000.
Avec 41 % de plus qu'en 1988, la progression de l'intérim est la plus nette dans le secteur tertiaire, là où cette forme d'emploi est traditionnellement la moins utilisée. La hausse est de 15 % dans le Bâtiment, Génie Civil et Agricole.
En 1989, on a décompté dans les entreprises à peine plus de 900 000 journées individuelles non travaillées (JINT) : 800 000 pour les conflits localisés et 104 000 pour les conflits généralisés. En volume, la conflictualité est donc en recul par rapport à l'année précédente.