Conjoncture de l'emploi et du chômage au troisième trimestre 2003
- 2 décembre 2003
- Dares Analyses N°52.2
Au troisième trimestre 2003, l’activité a rebondi et certains indicateurs avancés se sont redressés.
10 résultats
Au troisième trimestre 2003, l’activité a rebondi et certains indicateurs avancés se sont redressés.
En 2002, les entrées en Contrat Initiative Emploi (CIE) chutent de 40 %, amplifiant ainsi la baisse déjà forte de 2001 (- 35 %). Ainsi, 52 000 nouveaux contrats ont été signés, après 89 000 en 2001 et 138 000 en 2000.
329 977 conventions CES ont été signées en 2002.
Evaluer les effets des mesures pour l'emploi et la formation professionnelle mobilisées pour lutter contre le chômage et l'exclusion suppose de suivre leurs bénéficiaires dans la durée.
Le recul est surtout sensible dans les grandes entreprises : la part de jours de grève décomptés dans les entreprises de plus de 500 salariés recule de 49 % en 2000 à 41 % en 2001.
En juillet 2002, 14,0 % des salariés ont bénéficié de la hausse du SMIC ou des garanties mensuelles de rémunération.
Cette enquête a pour objectif le dénombrement du nombre de salariés bénéficiant de la revalorisation du Smic horaire ou des garanties mensuelles de rémunération au 1er juillet de chaque année.
En 1993, les conflits du travail repassent au-dessus de la barre du demi million de journées non travaillées. Les grèves ont été moins fréquentes mais plus longues, avec une absence presque totale de conflits généralisés.
En 1993, 226 500 personnes sont entrées en stage dans le cadre des Actions d'Insertion et de Formation (AIF). Ce nombre, quoique en diminution de 15 % par rapport à celui de 1992, reste supérieur aux niveaux de 1991 et 1990.
Le respect des obligations légales lors du relèvement du SMIC de juillet 1993 a entraîné une baisse de la proportion parmi les salariés qui passe en un an de 8,6 à 8,2 %. En outre, le vieillissement de la population des salariés au SMIC se poursuit.