Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre sur le dialogue social en entreprise
- 26 avril 2024
Cette enquête permet de décrire l’activité de négociation et les conflits dans les entreprises.
155 résultats
Cette enquête permet de décrire l’activité de négociation et les conflits dans les entreprises.
En 2022, 2,4 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole (employant 25 % des salariés de ce champ) connaissent un ou plusieurs arrêts collectifs de travail. Cette proportion augmente nettement, de 0,8 point, par rapport à 2021.
Depuis 2019, la note moyenne à l’Index augmente de 3,6 points et la part des notes inférieures à 75 se réduit de moitié.
En France, dans les établissements de plus de 10 salariés du secteur privé non agricole, les conflits du travail prennent différentes formes, dont la grève est une figure plutôt rare.
Sur les trente dernières années, la part des ménages sans emploi croît de façon quasi continue, alors que, jusqu’en 2008, la proportion de personnes sans emploi dans la population en âge de travailler diminue sous l’effet de la hausse de l’emploi féminin.
La diminution de la taille des ménages constitue le principal facteur d’augmentation de la part des ménages sans emploi : elle y contribue pour 1,3 point entre 1990 et 2001, 0,6 point entre 2001 et 2009 et 1,0 point entre 2009 et 2019.
Les femmes se forment moins que les hommes. Entre 2010 et 2015, elles sont 60 % à avoir suivi au moins une formation professionnelle, contre 65 % des hommes
L’édition 2023 de l’enquête Reponse permettra de décrire les rapports entre la direction et les salariés, en soulignant le rôle des représentants du personnel (RP) lorsqu’ils sont présents.
En 2021, 1,6 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole (employant 21 % des salariés de ce champ) connaissent un ou plusieurs arrêts collectifs de travail. Cette proportion augmente de 0,4 point par rapport à 2020.
En 2021, le nombre de journées individuelles non travaillées (JINT) pour fait de grève diminue de 13 % par rapport à l’année précédente, pour atteindre 58 jours pour 1 000 salariés.