Mythes et réalités de la syndicalisation en France
- 29 octobre 2004
- Dares Résultats N°44.2
En 2003, plus de 8 % des salariés (7,5 % des femmes et 9 % des hommes) sont syndiqués. C'est deux fois moins qu'il y a vingt-cinq ans.
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En 2003, plus de 8 % des salariés (7,5 % des femmes et 9 % des hommes) sont syndiqués. C'est deux fois moins qu'il y a vingt-cinq ans.
À l'intérieur des entreprises, la présence syndicale repose encore souvent aujourd'hui sur des militants en majorité masculins, ce qui limite, de fait, la capacité des syndicats à assurer la mixité des listes en vue des élections.
Cet article étudie les modes de flexibilité utilisés par les entreprises françaises pour faire face aux fluctuations d'activité en s'appuyant sur les données de l'enquête Acemo flexibilité réalisée en 2000 auprès de plus de 6 000 établissements.
Au quatrième trimestre 2003, la rotation de la main-d'œuvre est en hausse dans les établissements de 10 salariés ou plus.
Pour faire face aux creux et aux pics d'activité, les employeurs recourent principalement aux heures supplémentaires, aux CDD et à l'intérim.
Au troisième trimestre 2003, la rotation du personnel est en net repli dans les établissements de 10 salariés ou plus.
La rotation de la main-d'œuvre diminue pour le troisième trimestre consécutif dans les établissements d'au moins 10 salariés.
La rotation de la main-d'oeuvre diminue pour le deuxième trimestre consécutif dans les établissements de 10 salariés ou plus, excepté le secteur de la construction.
Au deuxième trimestre 1990 on estime à 880.000 le nombre d'entrées et de sorties dans les établissements de 50 salariés et plus. Ces mouvements laissent un solde positif de 80.000 emplois supplémentaires.
En 1989, les établissements de 10 salariés et plus qui employaient près de 10 000 000 de personnes, ont enregistré 6 500 000 mouvements de main-d'oeuvre (non compris les mouvements provoqués par les missions d'intérim).