Moindre recours au chômage partiel en 1995
- 9 décembre 1996
- Dares Indicateurs N°52.3
En 1995, la conjoncture s'est améliorée par rapport à 1993 et le recours au chômage partiel comme alternative au licenciement a beaucoup diminué.
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En 1995, la conjoncture s'est améliorée par rapport à 1993 et le recours au chômage partiel comme alternative au licenciement a beaucoup diminué.
Avec près de six millions de jours de grève, quatre dans la Fonction publique et deux dans le secteur privé et semi-public, l'année 1995 contraste avec les années précédentes.
En France comme en Allemagne, le chômage partiel, outil de gestion du temps de travail parmi d'autres, est employé par les entreprises comme un instrument destiné à parer aux incertitudes. Les conditions de sa négociation et de sa mise en œuvre sont par contre variées.
37 % des victimes d'accidents avaient 45 ans ou plus, au lieu de 27 % pour les salariés du secteur. L'indice de mortalité des " 45 ans et plus " est supérieur à celui des " 25 - 44 ans ", et plus encore à celui des " moins de 25 ans ".
Une diminution des 3/4 par rapport à 1987 : on dénombre 1,8 million de journées indemnisables en 1989 contre 6,3 millions deux ans plus tôt.
En 1989, on a décompté dans les entreprises à peine plus de 900 000 journées individuelles non travaillées (JINT) : 800 000 pour les conflits localisés et 104 000 pour les conflits généralisés. En volume, la conflictualité est donc en recul par rapport à l'année précédente.