Les facteurs de pénibilité mentale au travail en 1991
- 9 février 1992
- Dares Indicateurs N°265
En 1991, les cadres déclarent que leur travail est complexe, et qu'ils sont souvent débordés.
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En 1991, les cadres déclarent que leur travail est complexe, et qu'ils sont souvent débordés.
En 1991, les salariés considèrent leurs conditions de travail comme moins supportables en 1991 qu'elles ne l'étaient en 1978 et 1984.
La pression de la clientèle rythme le travail d'un salarié sur deux. C'est la contrainte que l'on rencontre le plus fréquemment sur les cadences de travail.
Conclus à plus de 60 % par des syndicats, les accords priorisent le recrutement de salariés de l'entreprise sur la base du volontariat. La rémunération est souvent plus favorable que les 50 % de majoration légale prévus.
L'enquête visait à obtenir une description concrète du travail, de son organisation et de ses conditions selon divers angles : horaires, rythmes de travail, efforts physiques ou risques encourus, pénibilité, organisation du travail, sécurité, coopération, conflits…
Ces résultats confirment l'idée que les contrats de travail aidés (contrat d'adaptation et contrat de qualification débouchent plus fréquemment sur un emploi, même si cela résulte pour partie d'une sélection préalable à l'entreprise.
Du 1er janvier au 30 novembre 1988, plus de 420 000 jeunes ont été recrutés sur l'une des formules de formation en alternance : 276 000 en stage d'initiation à la vie professionnelle, 89 000 en contrat d'adaptation et 56 000 en contrat de qualification.
Un actif sur quatre utilise un ordinateur dans son travail en 1987.
L’objectif de l’enquête était de décrire l’organisation du travail dans les entreprises et en particulier l’utilisation des nouvelles technologies par les salariés.
Sur plus d'un million de jeunes ayant bénéficié, entre le 1er mai 1986 et le 31 janvier 1987, des dispositions du plan d'urgence pour l'emploi des jeunes, près de 420 000 ont été recrutés au titre d'une des trois formules de formation en alternance.