Les conditions de travail dans la fonction publique
- 1 octobre 2003
- Dares Analyses N°40.1
Les conditions de travail ne sont, d'une façon générale, ni plus difficiles ni meilleures dans la fonction publique que dans le secteur privé.
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Les conditions de travail ne sont, d'une façon générale, ni plus difficiles ni meilleures dans la fonction publique que dans le secteur privé.
En 2001, les entreprises non agricoles ont distribué 8,7 milliards d'euros au titre de la participation et de l'intéressement, une somme en hausse de 14,5 % par rapport à l'année précédente.
Les jeunes suivis depuis plusieurs années sont moins qualifiés.
De nombreuses entreprises ont été amenées à modifier leur organisation à l'occasion de la réduction du temps de travail.
Les nouvelles technologies bureautiques et industrielles brouillent les frontières entre les métiers.
En 1998, tous secteurs confondus, 62 % des salariés, soit près de 11 millions, déclarent être en contact direct avec le public, proportion quasi stable depuis 1991.
En 2001, les entrées dans les principales mesures de politiques de l'emploi se sont repliées dans un contexte de retournement du marché de l'emploi et de réforme de plusieurs dispositifs.
En 1994, les salariés du secteur privé et semi-public ont perçu en moyenne 14,5 % de leur rémunération sous forme de primes. Les primes mensuelles représentent 6,7 % de la rémunération totale (6,6 % en 1993). La part des primes non mensuelles est stable : 7,8 %.
La politique de l'emploi en 1994 repose essentiellement sur la loi quinquennale du 21 décembre 1993, précédée par les mesures d'urgence de juillet 1993 et complétée par des lois, règlements ou accords entre partenaires sociaux.
Avec 80 000 bénéficiaires en 1994, le programme public d'aide aux chômeurs pour la création ou la reprise d'entreprise prend une part significative dans l'ensemble des mesures du secteur marchand destinées à lutter contre le chômage.