Quels sont les salariés concernés par le télétravail ?
- 4 novembre 2019
- Dares Analyses N°051
Si les femmes télétravaillent presque autant que les hommes, la situation familiale joue sur le recours à ce mode d’organisation du travail.
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Si les femmes télétravaillent presque autant que les hommes, la situation familiale joue sur le recours à ce mode d’organisation du travail.
La Dares a apporté son expertise à la publication L’économie et la société à l’ère du numérique (Insee Références, 2019) qui rend compte des transformations de l’économie et de la société par le numérique.
Au 4e trimestre 2018, le salaire mensuel de base (SMB) dans les entreprises de 10 salariés ou plus progresse de 1,6 % par rapport à l’année précédente, après +1,4 % fin 2017.
Fin 2016, 15,6 millions de salariés sont couverts par 674 conventions collectives de branche (hors branches agricoles), lesquelles sont regroupées en 435 conventions collectives agrégées.
La ségrégation professionnelle entre les femmes et les hommes et la concentration du temps partiel dans les métiers féminisés questionnent sur les rôles respectifs des facteurs liés à la demande et à l’offre de travail.
À la fin du 1er trimestre 2019, on dénombre 795 100 intérimaires en France, ce qui représente 3,1 % de l’ensemble des salariés.
Le travail à temps partiel se développe en France depuis le début des années 80. Il concerne désormais près de 16 % des salariés. Son développement a été accompagné par diverses mesures prises par les pouvoirs publics tout au long de ces dernières années.
Encore essentiellement féminin, le travail à temps partiel prend de plus en plus d'importance. Il a augmenté de 20 % entre 1991 et 1994, et concerne 15 % des actifs.
Ralentie dans la seconde moitié des années quatre-vingt, la négociation salariale de branche a été relancée en 1991 par une initiative concernant la revalorisation des bas salaires conventionnels.
Début 1994, 55 % des Français croyaient en l'efficacité d'un développement du travail à temps partiel pour réduire le chômage et 42 % estimaient qu'une réduction généralisée pouvait créer des emplois.