Six figures de l'emploi à temps partiel
- 19 septembre 2007
- Dares Analyses N°39.4
Les emplois à temps partiel ne constituent pas une catégorie homogène.
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Les emplois à temps partiel ne constituent pas une catégorie homogène.
En 2005, la part des salariés à temps partiel a plus que doublé par rapport au début des années quatre-vingt : 18 % contre 8 %.
En 1985 une femme active occupée sur cinq déclarait travailler à temps partiel, contre une sur trois en 2005.
En juin 2005, 41,5 % des salariés des TPE étaient employés à temps partiel, sur un contrat à durée déterminée ou bénéficiant d’une aide ciblée de l’État.
Avec 6 600 nouvelles entrées en 1999, le contrat d’orientation a poursuivi son développement, à un rythme cependant moins soutenu qu’en 1998.
Après deux années de hausse des entrées en contrat de qualification et d’adaptation, 1999 a été marqué par un net ralentissement des embauches pour la première mesure (+2 %) et par un recul sensible pour la seconde (- 8 %).
La croissance de l’emploi est restée vigoureuse au deuxième trimestre 2000, quoiqu’en retrait par rapport au trimestre précédent : 120 000 emplois ont été créés au total, dont 110 000 dans les secteurs concurrentiels non agricoles.
En 1999, le contrat de qualification à destination des jeunes de moins de 26 ans permet aux entreprises de construire les compétences adaptées à leurs attentes ou d’introduire dans leur collectif de travail des compétences nouvelles.
En 1999, environ 40 % des salariés ouvrant potentiellement droit à la mesure d’abattement des charges patronales en faveur du temps partiel en font effectivement bénéficier leur employeur.
Au premier trimestre, les créations d’emplois (+ 151 000) ont été plus vigoureuses qu’au trimestre précédent.