Les emplois du privé rémunérés sur la base du Smic
- 17 mars 2016
- Dares Analyses N°014
En 2013, les emplois rémunérés sur la base du Smic concernent plus de 8 % des salariés des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé.
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En 2013, les emplois rémunérés sur la base du Smic concernent plus de 8 % des salariés des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé.
Les entreprises utilisatrices d’activité partielle connaissent davantage une baisse de leurs effectifs et, ce, en dépit de l’utilisation de la mesure.
Si 85 % d’entre eux ont déjà travaillé, même de façon occasionnelle, leur durée cumulée d’emploi entre la fin de leur scolarité et l’entrée en contrat n’a le plus souvent pas dépassé un an.
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus des secteurs concurrentiels, le nombre moyen d’heures supplémentaires par salarié à temps complet, déclarées par les entreprises à l’enquête Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre (Acemo), est de 11,3 heures au 4ème trimestre 2011, en baisse de 0,1 % par rapport au 4ème trimestre 2010.
En 2011, 173 000 nouveaux contrats de professionnalisation ont été comptabilisés, soit une hausse de 17 % en un an.
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus des secteurs concurrentiels, le nombre moyen d’heures supplémentaires par salarié à temps complet, déclarées par les entreprises à l’enquête Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre (Acemo), est de 10,6 heures au 3e trimestre 2011, en hausse de 4,3 % par rapport au 3e trimestre 2010.
Le troisième trimestre 1998 est toujours bien orienté en matière d’évolution du marché du travail, même si les rythmes de création d’emplois et de baisse de chômage semblent se ralentir quelque peu par rapport aux trimestres précédents.
Avec une hausse de près de 9 % par rapport à 1996, l’essor des contrats de formation en alternance se poursuit en 1997.
En dépit d’un léger ralentissement des créations d’emplois, le second trimestre 1998 reste bien orienté du point de vue de l’évolution de la situation du marché du travail.
En 1996, un peu plus de deux ans après leur entrée en contrat de qualification, 61,8 des jeunes ont obtenu un diplôme ou une validation de leur formation.