La hiérarchie des salaires entre 1996 et 2004
- 17 septembre 2007
- Dares Analyses N°39.1
La dispersion des salaires nets des salariés à temps complet du secteur privé hors intérim a légèrement diminué entre 1996 et 2004.
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La dispersion des salaires nets des salariés à temps complet du secteur privé hors intérim a légèrement diminué entre 1996 et 2004.
En juillet 2006, la hausse du SMIC horaire a touché 15,1 % des salariés des entreprises non agricoles et hors secteur de l’intérim. Ont ainsi bénéficié de cette revalorisation 2 270 000 personnes, hors apprentis, dont 970 000 à temps partiel.
En 1990, le taux d'absence au travail est identique à ce qu'il était dans les années 70. Il s'élève à 5,3 % et si on y inclut les absences pour congé de maternité, celui-ci passe à 5,9 % . Les ouvriers sont plus souvent absents que les non ouvriers.
Le nombre d'Associations Intermédiaires (A.I.) actives a dépassé le chiffre de 900 en 1991. Globalement, l'activité de ces associations tournées vers la réinsertion professionnelle de publics très en difficulté, progresse de 25 % en un an.
Au cours de l'année 1991, 1,654 million de personnes ont été embauchées, sont entrées en stage ou en préretraite grâce à l'un des dispositifs de la politique de l'emploi. Ces effectifs sont en légère augmentation par rapport à l'année précédente ( 1,553 million).
Les salariés au SMIC représentaient 8,6 % de l'ensemble des salariés au 1er juillet 1991 contre 10,9 % au 1er juillet 1990.
200 000 personnes environ ont bénéficié d'un stage " AIF " en 1991. Près des trois-quarts sont des chômeurs de longue durée ou des chômeurs " récurrents " (au moins de 12 mois de chômage au cours des 18 derniers mois) ; un sur cinq est allocataire du RMI.