La situation sur le marché du travail au 1er trimestre 2024
- 24 mai 2024
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Emploi, chômage, difficultés de recrutement, salaires… Retrouvez les chiffres clés sur le marché du travail au 1er trimestre 2024.
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Emploi, chômage, difficultés de recrutement, salaires… Retrouvez les chiffres clés sur le marché du travail au 1er trimestre 2024.
Les très petites entreprises (TPE), de moins de 10 salariés, emploient 18 % des salariés du secteur privé non agricole en 2022. Elles se trouvent en dessous des seuils légaux qui imposent l’élection de représentants du personnel ou la tenue de négociations collectives.
Fin mars 2024, 754 500 personnes occupent un emploi intérimaire (données provisoires, corrigées des variations saisonnières), soit une hausse de 0,8 % par rapport au mois précédent (soit +5 700 intérimaires), après −0,7 % en février 2024 et −0,3 % en janvier 2024.
Si l’enquête Conditions de travail permet d’objectiver les différentes formes de pénibilité auxquelles sont exposés les salariés dans leur travail, elle ne permet d’en mesurer ni l’intensité, ni la durée.
52% des salariés sont exposés de manière « élevée ou très élevée » aux facteurs de pénibilité physique.
Le marché de l'emploi français subit des secousses post-crise, avec une augmentation significative des ruptures de contrats à durée indéterminée (CDI) pendant la période d'essai.
Au 4e trimestre 2023, 297 800 fins de période d’essai ont lieu en France métropolitaine sur le champ privé hors agriculture, intérim et particuliers employeurs (+2,7 % par rapport au trimestre précédent).
Au 4e trimestre 2023, en France métropolitaine, 6 371 000 contrats de travail sont signés dans le secteur privé (hors agriculture, intérim et particuliers employeurs), soit 0,3 % de moins qu’au trimestre précédent (après +0,1 % au 3e trimestre 2023).
En 2019, moins de la moitié des établissements ont un document unique d’évaluation des risques professionnels (DUERP) à jour. Le DUERP ainsi que les mesures de prévention sont plus fréquents dans les secteurs d’activité où les salariés sont le plus exposés.
Depuis 2017, les entreprises de plus de 300 personnes sont dans l’obligation de former à la non-discrimination à l’embauche leurs salariés en charge du recrutement. L’étude s’intéresse à l’offre de formation qui s’est développée suite à cette obligation.