La situation sur le marché du travail au 1er trimestre 2024
- 24 mai 2024
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Emploi, chômage, difficultés de recrutement, salaires… Retrouvez les chiffres clés sur le marché du travail au 1er trimestre 2024.
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Emploi, chômage, difficultés de recrutement, salaires… Retrouvez les chiffres clés sur le marché du travail au 1er trimestre 2024.
Les très petites entreprises (TPE), de moins de 10 salariés, emploient 18 % des salariés du secteur privé non agricole en 2022. Elles se trouvent en dessous des seuils légaux qui imposent l’élection de représentants du personnel ou la tenue de négociations collectives.
Au 4e trimestre 2023, 297 800 fins de période d’essai ont lieu en France métropolitaine sur le champ privé hors agriculture, intérim et particuliers employeurs (+2,7 % par rapport au trimestre précédent).
Au 4e trimestre 2023, en France métropolitaine, 6 371 000 contrats de travail sont signés dans le secteur privé (hors agriculture, intérim et particuliers employeurs), soit 0,3 % de moins qu’au trimestre précédent (après +0,1 % au 3e trimestre 2023).
Depuis 2017, les entreprises de plus de 300 personnes sont dans l’obligation de former à la non-discrimination à l’embauche leurs salariés en charge du recrutement. L’étude s’intéresse à l’offre de formation qui s’est développée suite à cette obligation.
Emploi, chômage, difficultés de recrutement, salaires… Retrouvez les chiffres clés sur le marché du travail au 4e trimestre 2023.
L'évolution de la législation a, depuis 1992, favorisé le développement du temps partiel qui s'est, dans certains cas, inscrit dans le cadre d'accords de branche ou d'entreprise.
Au début des années 90, la détérioration du climat économique a pesé sur l'évolution des salaires. Les jeunes nouvellement embauchés n'ont pas été épargnés : en francs constants, leurs salaires mensuels nets ont diminué quand ceux de l'ensemble des salariés sont restés stables.
La majorité des entreprises enquêtées en 1993 par le Ministère du travail ont introduit des innovations dans leurs méthodes de travail : " juste-à-temps ", politique de qualité totale, décloisonnement des fonctions, allègement de la hiérarchie, sont désormais monnaie courante.
Début 1994, 55 % des Français croyaient en l'efficacité d'un développement du travail à temps partiel pour réduire le chômage et 42 % estimaient qu'une réduction généralisée pouvait créer des emplois.