Les emplois familiaux en 2004
- 9 mai 2006
- Dares Analyses N°19.1
Dans le secteur des emplois familiaux, les salariés ont travaillé près de 650 millions d’heures en 2004, soit une progression de 4 % par rapport à l’année précédente.
10 résultats
Dans le secteur des emplois familiaux, les salariés ont travaillé près de 650 millions d’heures en 2004, soit une progression de 4 % par rapport à l’année précédente.
Les très petites entreprises (TPE) recourent davantage à des formes d’emploi à durée limitée ou à temps partiel et à des contrats aidés par l’État que leurs homologues de 10 salariés ou plus.
En mars 2002, 16 % des agents de la fonction publique sont salariés sur des contrats à courte durée. Dans la fonction publique territoriale, un cinquième des effectifs sont en contrat court, une pratique plus fréquente que dans les autres fonctions publiques.
Quels sont les effets de la réduction du temps de travail sur les modes de vie ? Quelles sont les transformations intervenues dans la vie des salariés à la fois au travail et en dehors du travail (organisation domestique, vie familiale, vie sociale, loisirs…) ?
Entre 1996 et 1999, avec le passage de la loi Robien à la loi Aubry, la réduction du temps de travail (RTT) aidée par l’État a changé d’échelle, le nombre d’entreprises et de salariés impliqués ayant décuplé.
En 2000, afin de mieux comprendre les enjeux microéconomiques et gestionnaires de l’aménagement-réduction du temps de travail (ARTT), deux équipes de consultants et chercheurs en gestion ont enquêté pour la DARES dans dix-huit entreprises qui l’avaient appliqué dans le cadre de la loi Robien.
La reprise de l’emploi, associée à l’accélération conjoncturelle de la mobilité professionnelle, a dynamisé la croissance des embauches.
En 1998, en France, les secrétaires sont environ 800 000.
La majorité des entreprises enquêtées en 1993 par le Ministère du travail ont introduit des innovations dans leurs méthodes de travail : " juste-à-temps ", politique de qualité totale, décloisonnement des fonctions, allègement de la hiérarchie, sont désormais monnaie courante.
Début 1994, 55 % des Français croyaient en l'efficacité d'un développement du travail à temps partiel pour réduire le chômage et 42 % estimaient qu'une réduction généralisée pouvait créer des emplois.