Le travail de nuit en 2012
- 21 août 2014
- Dares Analyses N°062
En 2012, 15,4 % des salariés (21,5 % des hommes et 9,3 % des femmes), soit 3,5 millions de personnes, travaillent la nuit, habituellement ou occasionnellement.
9 résultats
En 2012, 15,4 % des salariés (21,5 % des hommes et 9,3 % des femmes), soit 3,5 millions de personnes, travaillent la nuit, habituellement ou occasionnellement.
En 2012, 688 000 entrées en formation de personnes en recherche d’emploi ont été enregistrées, soit une hausse de 6 % du nombre de stages effectués par rapport à 2011.
En 2006, 632 000 demandeurs d’emploi ont débuté une formation. Selon une enquête menée en 2008-2009 auprès d’un échantillon de ces demandeurs d’emploi, les stagiaires étaient plutôt jeunes et relativement peu qualifiés et la plupart d’entre eux avaient déjà travaillé.
Près de 580 000 entrées en formation de demandeurs d’emploi ont été enregistrées en 2009, soit 5 % de moins qu’en 2008, dans un contexte de forte hausse du nombre de demandeurs d’emploi.
En 2009, 15,2 % des salariés (21,4 % des hommes et 9 % des femmes), soit 3,5 millions de personnes, travaillent la nuit, habituellement ou occasionnellement.
La majorité des entreprises enquêtées en 1993 par le Ministère du travail ont introduit des innovations dans leurs méthodes de travail : " juste-à-temps ", politique de qualité totale, décloisonnement des fonctions, allègement de la hiérarchie, sont désormais monnaie courante.
Début 1994, 55 % des Français croyaient en l'efficacité d'un développement du travail à temps partiel pour réduire le chômage et 42 % estimaient qu'une réduction généralisée pouvait créer des emplois.
Les collectivités locales s'impliquent dans la lutte contre le chômage, du fait de leurs compétences, mais aussi au travers de fonctions nouvelles : l'animation, l'expérimentation et la médiation.