Au-delà des discriminations mesurées par les testings, comment sont recrutées les personnes dont le nom et prénom suggèrent une origine arabo-musulmane ?
- 20 avril 2023
- Document d'études N°268
Quelques faits stylisés à partir de l’enquête Ofer 2016.
17 résultats
Quelques faits stylisés à partir de l’enquête Ofer 2016.
Vous avez reçu une lettre ou un mail vous invitant à répondre à un questionnaire en ligne sur vos pratiques de formation ?
Les personnes d’origine maghrébine sont moins souvent recontactées par les recruteurs, elles connaissent un risque de chômage plus fort et elles déclarent plus souvent qu'un emploi leur a été injustement refusé.
Les caractéristiques de ces populations (niveau de diplôme, d'activité, de chômage) évoluent-elles par rapport aux personnes sans ascendance migratoire ? Quelles sont leurs spécificités en termes de métiers et de contrats de travail ?
La Dares contribue chaque année à l'annexe au projet de loi de finances consacrée à la formation professionnelle. Ce "jaune budgétaire" présente les principales données financières et physiques relatives à la formation professionnelle continue et à l’apprentissage, quels qu’en soient les dispositifs, les financeurs et les bénéficiaires.
Bouches-du-Rhône, Gard, Haute-Saône, Ille-et-Vilaine, Nord, Paris, Somme, Val d'Oise : 8 monographies départementales sur la mise en œuvre des politiques en faveur de l’intégration professionnelle des réfugiés.
Le département du Nord est caractérisé par une offre relativement étoffée et l’existence de nombreux dispositifs orientés vers l’intégration professionnelle et le logement. Le département de la Somme aussi se caractérise par une gouvernance et un cadre d’action bien structurés.
L’insertion professionnelle des réfugiés en Haute-Saône est appréhendée sous l’angle de la « durabilité » et du maintien de ces publics BPI sur le territoire.
En Ille-et-Vilaine, un écosystème d’acteurs qui s’est globalement bien saisi de l’enjeu de l’intégration des réfugiés, sous l’impulsion d’une stratégie départementale affirmée.
Comme pour les autres départements littoraux de la région Occitanie, la situation économique apparait moins porteuse pour les réfugiés, avec un taux de chômage parmi les plus élevés (17% contre 14% en moyenne régionale) dans le département du Gard.